Abstract
Les marionnettes et les poupées ont été des modèles exemplaires dans la quête des artistes pour un nouveau corps dans l'espace dans le Modernisme. Il paraît que ces corps « sans conscience » on gardé en échange l'innocence primordiale de l'homme dans le Paradis. Seulement ces corps - des signes épiphaniques de notre condition pré-lapsarienne - one gardé aussi la capacité d'interpréter le geste mythologique archétypal, c'est à dire, le saut comme origine de la dance métaphysique dont parle Platon dans son dialogue Les lois. La dance, d'après Ionesco, c'est le plus proche qu'on a comme trace de ce don perdu de l'humanité, parce que la dance est rituel dans son essence. Cet article essaie de dévoiler la dimension exquise de la marionnette et de la métaphysique de son corps qui a inspiré les artistes dans le Modernisme.
Originalsprog | Engelsk |
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Tidsskrift | Cinematographic Art |
Udgave nummer | 2 |
Sider (fra-til) | 26-37 |
ISSN | 1844-2803 |
Status | Udgivet - 2008 |
Emneord
- Det Humanistiske Fakultet